Ces jumeaux, Alain et Théo, ont trois ans. Je les ai vus dans un café à Villefranche ce soir après l’école. Leur père a été d’accord pour que je les prenne en photo après il a semblé me demander d l’argent. Un autre homme a dit qu’il était le jumeau du père, mais ça clairement n’était pas le cas, parce qu’ils ne se resemblaient pas. Tous les clients du café se sont s’amusés avec l’événement du photographe américain et les jeunes frères, surtôt les jumeaux eux-mêmes.
Á l’école hier beaucoup d’élèves avaient des rhumes, comme toutes les écoles. Moi, j’en ai un pas très mauvais, et Darlene n’est pas malade du tout. C’était bon de retourner à l’école encore. J’aime beaucoup la régularité des journées. On n’a pas besoin de choisir quoi faire. S’il est 9 heures, on commence la journée dans la classe et on dit “bonjour” à Céleste, qui va demander à l’un des élèves d’écrire la date sur le tableau. On m’a dit que dans un asile pour les malade mentaux, c’est la même régularité qui guérit les internés. Alors, quand je suis au milieu de cette régularité, je suis content.